La saga du chef de gare

Mis à jour le 21 avril 2024

La saga du chef de gare a simplement commencé par une photo publiée sur Nos ancêtres il y a treize ans.

Stanislas Robichaud… Chef de gare

Depuis le 22 septembre 2010, le chef de gare Stanislas Robichaud était sombré dans l’oubli sur Nos ancêtres en attendant qu’un de ses descendants le fasse revivre, lui et sa famille.

C’est fait.

La saga sera mise en ligne tous les lundis.

Afin de vous aider à démêler tout ça, je mettrai à jour cette table des matières avec les hyperliens menant chronologiquement vers la saga du chef de gare.

Table des matières

Canadian Pacific 4-4-0 No. 29 aka 277

Les pubs sur Nos ancêtres

Abonnez-vous!

Embarquement immédiat!

Les passagers pour Rivière-Ouelle

All aboard!

All aboard?

Télétransportation

Télétransportation – Courir deux lièvres à la fois…

Souvenirs d’enfance

Un peu d’histoireSouvenirs d’enfance… La suite

Wilfrid Lebel nous écrit…

Wilfrid Lebel nous écrit… l’intégrale

8 septembre 1910 – 16 personnes, 16 vies

Marie-Anna Moreau

Les grands oubliés de l’histoire – Guillaume Robichaud, instituteur

Quand arrêter?

Laisser des traces…

Stanislas Robichaud chef de gare – Généalogie 101, apprendre à se méfier…

La branche d’Anselme et de Pétronille

La branche d’Anselme et de Pétronille – Prise 2

Léopoldine Chalifoux

Les ancêtres d’Anselme Robichaud

En route pour Port Royal

 

En route pour Port Royal

Toute bonne chose a une fin…

Désolé pour le retard…

Je suis en pleine rénovation de la salle de bain depuis deux semaines et je ne suis pas encore rendu à l’entrée du tunnel.

J’avais visité Port Royal en 1977 ou en 1978. Je dois bien avoir des centaines de diapositives de ce voyage dans les Provinces maritimes: Nouveau-Brunswick, Île-du-Prince-Édouard et Nouvelle-Écosse. Nouvellement marié, je n’avais aucun intérêt pour la généalogie. Je retourne donc virtuellement à Port Royal pour y retracer les ancêtres d’Anselme Robichaud…

Son père Michel Robichaud est né en 1758 à Port Royal…

Son grand-père François Robichaud dit Lejeune y est également né…

Sa grand-mère Marie Bélisle dit Leborgne aussi…

Son arrière-grand-mère Anastasie est née à Pentagouët

Son arrière-arrière-grand-mère y est aussi née…

Son arrière- arrière-arrière-grand-père…

Né vers 1630 sur le territoire Wabanaki (Massachusetts et Maine actuel), Madockawando est le fils adoptif d’Essemonoskwe, un chef Kennebec. Il devient le chef des Pentagouets, une tribu de la Confédération Wabanaki (abénaquise), et grand bashaba (chef des chefs) de la Confédération Wabanaki.

Il est aussi un medeoulin (guérisseur d’âme) et un ginap (littéralement grand homme, possédant une force ou des qualités extraordinaires). Madockawando signifie d’ailleurs « celui qui fait des miracles ».

Deux de ses filles, Pidianskwe et Misoukdkosié, sont les épouses du baron Jean-Vincent d’Abbadie de Saint-Castin.

Madockawando décède en octobre 1698. À sa mort, son beau-fils, Jean-Vincent d’Abbadie de Saint-Castin, devient grand sachem des Pentagouets.

Source Wikipedia

Source: https://judhartmanngallery.com/madackawondo/#pgcSgb-sl-0_sl_666


Finalement un peu de lecture pour clore le dossier et terminer la saga du chef de gare…

Transcription de la première page

1. Les origines

Ecrire en quelques lignes l’essentiel d’une histoire qui aura bientôt quatre siècles, cela me paraît difficile au départ. Les pages qui me sont accordées suffiraient tout au plus à contenir la liste chronologique des événements qui ont marqué le déroulement de cette histoire commencée en 1604 sur le site fermé d’une île minuscule. Sainte-Croix! Si peu d’espace pour naître! L’île est sise dans une entaille profonde, déjà dans le continent mais encore sur la mer, comme si un peuple hésitait à jouer son destin sur un terrain trop vaste, risquant d’y perdre un jour sa vie, ses forces diluées dans la dispersion, au gré des exigences continentales. Avant Sainte-Croix il y avait eu l’Ile de Sable. L’Acadie se rapprochait du continent. Elle était maintenant compromise.

Mais pourquoi des Français en 1604 dans l’estuaire de la rivière Sainte-Croix, et quels Français ? Si on connaît en effet quelques-uns des membres de l’expédition, on apprend du même coup le pourquoi des explorations dans cette partie du littoral américain. Au commandement on retrouve Du Gua de Monts. Le sieur de Monts connaît déjà la vallée du Saint- Laurent, jusqu’à Tadoussac, pour l’avoir remontée en 1600, et en garde le souvenir d’un fascheux pays. Il désire fonder une habitation sous un ciel plus tempéré, pour jouir, c’est…

Cliquez sur l’hyperlien ci-dessous.

Survol historique de l’Acadie

Partager a bien meilleur goût… 1976-1977 – Familles d’ici – Le Canada français

Veuillez prendre note…
Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugés exacts lors de leurs publications, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.

Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert


Je me demande bien qui a eu cette idée chez la brasserie Labatt de partager tout ça…

Famille d’ici
Le Canada français – Familles d’ici

De la moitié de l’année 1975 à janvier 1977, l’hebdomadaire « Le Canada français » de Saint-Jean-sur-Richelieu a publié une série de biographies individuelles de colons de la Nouvelle-France.
En partie disponible en ligne, voici les 30 biographies publiées du 4 février 1976 au 21 juillet 1976 et du 8 décembre 1976 au 5 janvier 1977.
Ces biographies, pour la plupart, semblent être exclusives au « Canada français ».
Ces biographies ont été préparées par Paul-André Lalanne et Marcel Gauthier, de la Société d’Historique de la Vallée du Richelieu, ainsi que par Léandre Fortin, représentant local de la brasserie Labatt.
Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugée exacte lors de lors publication, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.
Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert

Collaboration d’André Desaulniers Hébert

Veuillez prendre note…

Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugés exacts lors de leurs publications, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.

Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert

Émerveillement… Prise 3

Veuillez prendre note…

Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugés exacts lors de leurs publications, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.

Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert


Une recherche d’André Desaulniers Hébert, mise sur Facebook, et reprise ici…

1975-03-1976-01 – Familles d’ici – Le Canada français – 1ère partie

Dans cette publication, nous présentons la chronique « Familles d’ici » publiée du mois de mars 1975 au mois de janvier 1976 dans l’hebdomadaire “Le Canada français” de Saint-Jean-sur-Richelieu, ville connue autrefois sous le nom de Saint-Jean-d’lberville.

La suite de la chronique est publiée dans une autre publication.

En collaboration avec Paul-André Lalanne, de la section Saint-Jean-d’Iberville de la Société Historique de la Vallée du Richelieu, et Léandre Fortin, représentant local de la Brasserie Labatt, l’hebdomadaire  » Le Canada français » a publié de 1975 à 1977 dans sa chronique « Familles d’ici » des biographies de colons de la Nouvelle-France.

La chronique « Familles d’ici » reprenait en partie le contenu des publications antérieures de 1956 à 1958 et de 1963 à 1964 connues sous les noms de « Les vieux noms du Québec » et « Les anciennes familles du Québec » publiées dans plusieurs journaux et hebdomadaires du Québec. Mais aussi plusieurs autres biographies de colons, qui ne semblent pas avoir été publiées auparavant ou du moins, n’ont pu être retracées jusqu’à présent.

Dans une toute nouvelle présentation, en plus de la biographie d’un colon, on retrouve une illustration, lorsque mentionnée, par E. Sénécal (Ernest Sénécal) ou Franklin Arbuckle (George Franklin Arbuckle).

Notes biographiques au sujet d’Ernest Sénécal:

Ernest Sénécal (1894-1979) est un artiste multidisciplinaire surtout connu pour ses illustrations.

En 1930, il illustre la couverture de Nos intérieurs de demain par Jean-Marie Gauvreau. Un ouvrage traitant du mobilier moderne et de l’École Boulle de Paris.

Dans les années 30, il réalise les illustrations pour la bande dessinée « La ferme des Pins » publiée dans plusieurs journaux dont L’Action catholique; Le Devoir; Le Droit; et Le Nouvelliste.

Dans l’édition du Devoir du 15 février 1939, on rapporte qu’il a remporté un prix à un concours de reliure d’un exemplaire du livre « L’Île d’Orléans » écrit par Pierre-Georges Roy.

Dans les années 40, il réalise des affiches pour l’Office du tourisme de la province de Québec.

Nous retenons surtout, dans le cas présent, qu’il a réalisé dans les années 50 et peut-être aussi 60 une multitude de dessins pour la Brasserie Labatt dans le cadre de la série « Les anciennes familles du Québec ».

Les dessins réalisés pour la Brasserie Labatt par Ernest Sénécal, ainsi que ceux de George Franklin Arbuckle ont été publiés en de multiples occasions dans plusieurs journaux et autres publications du Québec.

Ces dessins accompagnés d’une courte biographie ont également fait l’objet d’un tirage individuel. Selon les sources, leurs tailles étaient de 8 x 12 pouces ou 7 x 14 pouces. La Brasserie Labatt a publié et distribué en 1968 dans une brochure intitulé « Les anciennes familles du Québec » qui reprend, en miniature toutefois, les mêmes dessins et biographies.

Notes biographiques:

Ernest Sénécal est né le 27 novembre 1894 et fut baptisé le 28 novembre de la même année à la paroisse Sacré-Coeur d’Ottawa. Ses père et mère sont Clovis Omer Sénécal, employé civil, et Eva Lambert “de cette paroisse”. L’acte de baptême apporte d’autres renseignements généalogiques en précisant que le parrain fut Ernest Lambert, employé civil, oncle de l’enfant; et la marraine fut Alice Valade, grand-tante de l’enfant de la paroisse Notre-Dame d’Ottawa.

En 1918, il est recruté dans l’Armée canadienne lors de la Première Guerre mondiale.

C’est à l’église de la paroisse Saint-Charles (Vanier) d’Ottawa qu’Ernest Sénécal et Alice Michaud se sont mariés le 21 juin 1928. Le couple a eu quatre enfants: Jean-Pierre, Marie, Jacques et Louis.

C’est le 30 septembre 1979, à Montréal qu’est décédé Ernest Sénécal à l’âge de 84 ans. II repose au cimetière de la paroisse de Sainte- Dorothée à Laval.

Leur fils Jacques est devenu imprimeur-presseur et il a imprimé les dessins de son père réalisés pour la Brasserie Labatt, probablement par procédé lithographique.

La biographie de George Franklin Arbuckle (1909-2001) ne sera pas abordée ici puisqu’elle est disponible en ligne.

Les ancêtres d’Anselme Robichaud

Je terminais comme suit la semaine dernière…

Si la descendance d’Osithe vous intéresse…

Nous allons plutôt nous envoler plus rapidement vers Port Royal en Acadie avec les ancêtres d’Anselme Robichaud, tout en survolant Saint-André-de-Kamouraska.

Vues aériennes de Saint-André-de Kamouraska (Photos de Gabriel Picard)

Anselme Robichaud, né le 13 août 1795 à Saint-André-de-Kamouraska, était le fils de Michel Robichaud et de Marguerite Pinet.

Nous savons déjà que son père Michel faisait un peu partie de l’histoire de la déportation des Acadiens.

Il était tout jeune bébé quand ses parents ont subi la déportation des Acadiens vers 1758. Ses parents se sont dirigés vers Grand-Sault, ensuite Cap-St-Ignace et L’Islet.

J’avais trouvé le renseignement ci-dessus sur Internet. Michel Robichaud serait né vers 1758 à Port-Royal. Le 26 janvier 1784, à St-Louis-de-Kamouraska, il marie Marguerite Pinet, fille de Pierre Pinet et de Marguerite Michaud.

Fils de François Robichaud et de Marie Belisle dit Leborgne, Michel Robichaud nous quitte 20 mars 1809 à Saint-André-de Kamouraska.

L’histoire ne nous dit pas si Michel Robichaud et Marguerite Pinet vécurent heureux, mais ils eurent beaucoup enfants…

Marguerite Robichaud 1784–1800

Michel Robichaud 1786–1829

Joseph Robichaud 1788–

Germain Robichaud 1792–

Archange Robichaud 1794–1794

Anselme Robichaud 1795–1861

Marie Robichaud 1798–

Rosalie Robichaud 1798–1867

Édouard Robichaud 1800–

Louise Robichaud 1803–

Eléonore Robichaud 1804–1836

Marianne Robichaud 1805–1879

Verville Robichaud 1807–1823

La semaine prochaine, en route pour Port Royal.

Labatt et Le Canada Français

Veuillez prendre note

Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugés exacts lors de leurs publications, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.

Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert


André Desaulniers Hébert récidive…

1963-1964 – Le Canada français – Anciennes familles du Québec Dans l’hebdomadaire le Canada français, un article du 7 février 1963, nous apprend la publication de la chronique à venir: « Les anciennes familles du Québec ». Cette série au format particulier a été publiée du 14 février 1963 au 9 janvier 1964. Contrairement aux autres séries antérieures ou postérieures portant sur le même thème, il n’y a aucune mention de la brasserie Labatt. Chacune des publications comprend une seule biographie de colons. Le texte de la plupart de ces biographies est le même que la biographie publiée lors de la diffusion de 1956-1958. Mais, on remarque certaines biographies qui semblent n’avoir jamais publiées auparavant. Ces publications de biographies de colons de la Nouvelle-France ne comprennent pas de dessin spécifique au colons décrit. Chaque publication comprend la même entête: Le tire « Les anciennes familles du Québec » et un dessin représentant un homme portant un arme à feu et une femme en habits d’époque. Dans une prochaine publication: Après une pause de quelques semaines, à compter du 19 mars 1964, la série reprendra avec une nouvelle présentation incluant les dessins de Franklin Arbuckle et d’Ernest Sénécal et la mention de la brasserie Labatt.

 

 

 

Émerveillement… Prise 2

Veuillez prendre note…

Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugés exacts lors de leurs publications, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.

Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert


Mis à jour le 3 avril 2024

Bonjour,

C’est avec émerveillement que j’ai trouvé votre page web concernant la brochure « Les vieilles familles du Québec ».

Le hasard a fait que j’ai documenté la même brochure. Mais, bien plus!

J’ai retracé les publications originales dans les journaux et j’ai découvert des biographies plus longues! Et de nombreux autres dessins. En effet, Mathieu Labat a eu droit à plusieurs dessins.

Je partage ci-dessous de nouvelles publications Facebook:

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid02r7Xq1x7fvRESWiYgbejSC47nnHKPpbQ3fSSamc4Avxd4SN7ivM5Vx2k2YEkG4bidl&id=100007182672116

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0pmE8QT2pg6UMrwNAtw5kiDkpU6XeNdfDXu8Zm6BvK6f4vj4ENe48LF4ucqM63Y8Kl&id=100007182672116

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid02qFwtJpi5tTmLE1B6uqUTYYLBNwvN7JDmWKr5gip96vzBRE1Bb6TK5Lzf7Z5sAgitl&id=100007182672116

Les anciennes publications…

André Desaulniers Hébert

À suivre prochainement sur Nos ancêtres…

Léopoldine Chalifoux

Un court billet sur Nos ancêtres.

Depuis le mois d’août 1927, Léopoldine repose en paix aux États-Unis…

Sun-Journal

08 Aug 1927, Monday

Page 9

Mrs. Prime Nadeau

Mrs. Prime Nadeau, 70, formerly Leopoldine Chalifoux died at St.Mary’s hospital Sunday afternoon of an illness which she had suffered several years. Mrs. Nadeau was in an automobile accident last 4th of July in which her husband was killed. Mrs. Nadeau was injured at that time but recovered within a few days. She was born in St. Epiphane, Canada, and was married in Michigan, but she had lived in Lewiston for the past 40 years. She leaves five sons, Prime, Fred, James, Henry and Joseph Nadeau, one daughter, Miss Emma Nadeau, all of Lewiston and one grandchild, Theodore. The body is at the home of Fred Nadeau, 104 Oak street, Lewiston.

Traduction pour les descendants de ceux qui sont demeurés au Québec…

Sun-Journal

08 Aug 1927, lundi

Page 9

Mme Prime Nadeau

Mme Prime Nadeau, 70 ans, anciennement Léopoldine Chalifoux, est décédée à l’hôpital St. Mary’s dimanche après-midi des suites d’une maladie dont elle souffrait depuis plusieurs années. Mme Nadeau a été victime d’un accident de voiture le 4 juillet dernier dans lequel son mari a été tué. Mme Nadeau a été blessée à ce moment-là mais s’est rétablie en quelques jours. Elle est née à St-Épiphane, au Canada, et s’est mariée dans le Michigan, mais elle vivait à Lewiston depuis 40 ans. Elle laisse cinq fils, Prime, Fred, James, Henry et Joseph Nadeau, une fille, Miss Emma Nadeau, tous à Lewiston et un petit-enfant, Theodore. Le corps se trouve au domicile de Fred Nadeau, 104 Oak street, Lewiston.

À suivre…

Émerveillement…

Veuillez prendre note…

Cependant, veuillez noter qu’il en est de tous textes de généalogie et d’histoire, avant de les reprendre et de les réutiliser, la vigilance est de mise. Bien que jugées exactes lors de lors publication, de nouvelles découvertes peuvent avoir remis en question certaines affirmations que l’on pensait certaines.
Et comme je l’écrivais dans un texte passé :
« Les archives en ligne permettent, le cas échéant, l’obtention des preuves primaires (actes, cartes, etc.). Cela permet une contre-vérification des travaux antérieurs et de repérer les erreurs des textes passés. Gardons-nous d’utiliser les informations d’un ouvrage sans avoir fait les vérifications élémentaires!
« Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver. »

André Desaulniers Hébert


Bonjour,

C’est avec émerveillement que j’ai trouvé votre page web concernant la brochure « Les vieilles familles du Québec ».

Le hasard a fait que j’ai documenté la même brochure. Mais, bien plus!

J’ai retracé les publications originales dans les journaux et j’ai découvert des biographies plus longues! Et de nombreux autres dessins. En effet, Mathieu Labat a eu droit à plusieurs dessins.

Je partage ci-dessous mes publications Facebook:

André Desaulniers Hébert

À suivre prochainement sur Nos ancêtres…