En route pour Port Royal

Toute bonne chose a une fin…

Désolé pour le retard…

Je suis en pleine rénovation de la salle de bain depuis deux semaines et je ne suis pas encore rendu à l’entrée du tunnel.

J’avais visité Port Royal en 1977 ou en 1978. Je dois bien avoir des centaines de diapositives de ce voyage dans les Provinces maritimes: Nouveau-Brunswick, Île-du-Prince-Édouard et Nouvelle-Écosse. Nouvellement marié, je n’avais aucun intérêt pour la généalogie. Je retourne donc virtuellement à Port Royal pour y retracer les ancêtres d’Anselme Robichaud…

Son père Michel Robichaud est né en 1758 à Port Royal…

Son grand-père François Robichaud dit Lejeune y est également né…

Sa grand-mère Marie Bélisle dit Leborgne aussi…

Son arrière-grand-mère Anastasie est née à Pentagouët

Son arrière-arrière-grand-mère y est aussi née…

Son arrière- arrière-arrière-grand-père…

Né vers 1630 sur le territoire Wabanaki (Massachusetts et Maine actuel), Madockawando est le fils adoptif d’Essemonoskwe, un chef Kennebec. Il devient le chef des Pentagouets, une tribu de la Confédération Wabanaki (abénaquise), et grand bashaba (chef des chefs) de la Confédération Wabanaki.

Il est aussi un medeoulin (guérisseur d’âme) et un ginap (littéralement grand homme, possédant une force ou des qualités extraordinaires). Madockawando signifie d’ailleurs « celui qui fait des miracles ».

Deux de ses filles, Pidianskwe et Misoukdkosié, sont les épouses du baron Jean-Vincent d’Abbadie de Saint-Castin.

Madockawando décède en octobre 1698. À sa mort, son beau-fils, Jean-Vincent d’Abbadie de Saint-Castin, devient grand sachem des Pentagouets.

Source Wikipedia

Source: https://judhartmanngallery.com/madackawondo/#pgcSgb-sl-0_sl_666


Finalement un peu de lecture pour clore le dossier et terminer la saga du chef de gare…

Transcription de la première page

1. Les origines

Ecrire en quelques lignes l’essentiel d’une histoire qui aura bientôt quatre siècles, cela me paraît difficile au départ. Les pages qui me sont accordées suffiraient tout au plus à contenir la liste chronologique des événements qui ont marqué le déroulement de cette histoire commencée en 1604 sur le site fermé d’une île minuscule. Sainte-Croix! Si peu d’espace pour naître! L’île est sise dans une entaille profonde, déjà dans le continent mais encore sur la mer, comme si un peuple hésitait à jouer son destin sur un terrain trop vaste, risquant d’y perdre un jour sa vie, ses forces diluées dans la dispersion, au gré des exigences continentales. Avant Sainte-Croix il y avait eu l’Ile de Sable. L’Acadie se rapprochait du continent. Elle était maintenant compromise.

Mais pourquoi des Français en 1604 dans l’estuaire de la rivière Sainte-Croix, et quels Français ? Si on connaît en effet quelques-uns des membres de l’expédition, on apprend du même coup le pourquoi des explorations dans cette partie du littoral américain. Au commandement on retrouve Du Gua de Monts. Le sieur de Monts connaît déjà la vallée du Saint- Laurent, jusqu’à Tadoussac, pour l’avoir remontée en 1600, et en garde le souvenir d’un fascheux pays. Il désire fonder une habitation sous un ciel plus tempéré, pour jouir, c’est…

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Survol historique de l’Acadie

Publié par

Pierre Lagacé

Retired school teacher and amateur historian Enseignant retraité et historien amateur

2 réflexions au sujet de “En route pour Port Royal”

  1. Merci beaucoup mes ancêtres sont les pionniers de Nouvelle Écosse Les Landry, Melancon, Bourque, Gaudet, Leblanc, Béliveau etc je fais des recherches sur eux. Toujours intéressant de vous lire! Diane Dubeau ________________________________

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