9 janvier 2013

Ce billet sur l’histoire des ancêtres de Susan… en dit pas mal long sur le parcours, depuis bientôt cinq ans, de ce petit garçon sur son petit tricycle en 1954, photographié par sa mère sur le trottoir de la rue Mentana à Montréal.

Il s’était mis en 2007 à rechercher ses ancêtres paternels…

Pierre 046

Pour la suite de l’histoire des ancêtres de Susan…?

Cliquez sur l’image. 

Pierre sur la rue Mentana

 

Publié par

Pierre Lagacé

Retired school teacher and amateur historian Enseignant retraité et historien amateur

19 réflexions au sujet de “9 janvier 2013”

  1. Ça me rappelle.

    Mes parents (mon père? ma mère?) avaient pris une photo de moi sur mon tricycle, à peu près vers le même âge, à peu près dans la même ‘pose’… probablement sur la rue Dorchester, et cette photo, je ne sais trop pourquoi, m’est restée gravée dans la mémoire. Toi et moi avons entre nous plus d’atomes crochus qu’il n’y paraît à première vue, mon Pierre.

    En passant, nous avons habité plusieurs années dans cette belle maison située tout à côté du site actuel du Collège des médecins du Québec. Avant eux, la Croix-Rouge y avait installé ses pénates. Je me rappelle même de l’époque où l’immeuble a été construit (première moitié des années 1950). Nous étions VRAIMENT collés à l’édifice.

    (2188/2190, boulevard René-Lévesque Ouest (ex-boulevard Dorchester) pour être plus précis)

  2. … et je ne parle même pas de cette photo où, vers l’âge d’un an, je me retrouve perché sur le ‘hood’ de la voiture familiale — une grosse Mercury, fin des années 1940, si je me souviens bien — avec ma mère ET la belle Julia en avant-plan un beau jour de nos hivers d’antan (lire  »avec plein de neige! »)

  3. P.S.: As-tu Googlé l’adresse? Nous habitions au sous-sol et louions les chambres aux étages supérieurs. Les deux lucarnes qu’on peut voir, je m’en rappelle bien, surtout celle du premier étage… parce qu’il y avait un téléphone payant juste à côté, d’où les chambreurs pouvaient appeler. La formule du un téléphone par chambre était sans aucun doute trop onéreuse à l’époque…

    Je me rappelle aussi de ces marches sur lesquelles on s’asseyait mon ami René et moi les soirs d’été et d’automne et où on essayait d’identifier toutes les voitures qui passaient sur le boulevard Dorchester (c’était plus simple à l’époque… passablement moins de modèles!).

    On était à cinq minutes de marche de l’ancien Forum, cette vénérable institution où a évolué la Sainte-Flanelle et où mon père m’a amené pour assister à quelques parties; il m’a sans doute payé un hot dog et une ‘liqueur’ à ces occasions. Pour moi, c’était des grandes sorties, ça…

    🙂

    1. Tu devrais te partir un blogue avec toutes tes histoires d’enfance.
      Je trouve ça passionnant à lire.
      Ça donne faim itou…
      Des hot dogs! Au Forum.
      Relish moutarde svp…

      1. La purée pour bébés est sans doute meilleure pour la santé.

        Pour les histoires, disons que certains récits en suscitent d’autres…

        Relish, moutarde?!?

        Non, non, non, NON.

        Chou, moutarde, oignons et rien d’autre. Et JUSTE UN PETIT PEU DE CHAQUE!

        Relish, moutarde… franchement.

        T’es pas sortable.

      2. Tous les goûts sont dans la nature mon cher Watson…
        Relish, moutarde…
        Quoi qu’un bon steamé avec seulement du chou fait des ravages…
        Souvenir de la rue Ontario…

        Tiens, ça me donne une idée de billet ces hot dogs!

  4. Je suppose que tu te retiens à deux mains pour ne pas m’asséner l’infâme RELISH/KETCHUP, hmmm?

    Pas assez pour toi que la saucisse soit constituée exclusivement d’innommables?? Tu veux ajouter l’insulte à l’injure?

    Peut-être les hot dogs de notre jeunesse étaient-ils somme toute plus  »sains », et j’utilise le terme avec tous les caveats possibles

    1. Ketchup!
      Hérésie mon cher.
      Jamais de ketchup dans mes hot dogs!
      Pas capable, mais mon fils Nicholas oui…
      Je ne le renierai pas pour ça par contre.

  5. Steamé avec du chou, par contre, ça présente un certain potentiel.

    Les roteux (steamés) du Montreal Pool Room sont, à juste titre, devenus célèbres. Après tout, ses propriétaires ont eu 100 ans (l’établissement a vu le jour en 1912) pour raffiner le produit, donc pas d’excuses. J’avoue que la possibilité de saupoudrer quelques graines de paprika moulu sur le produit final ajoute un petit je-ne-sais-quoi…

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